ATTENTION AU REMEDE PIRE QUE LE MAL...OU CHRONOLOGIE D'UNE MORT PROGRAMMEE !

Publié le par COZILLICO

 DANS CETTE PIECE DE THEATRE SURJOUÉE DE LA NOUVELLE VAGUE DE CETTE TRAGEDIE PANDEMIQUE DE LA COVID 19, ACTE 3 VARIANT,  NOS DIRIGEANTS JOUENT PITOYABLEMENT LE MASQUE DE LA TERREUR DONT LE DERNIER ACTE NE SERA PAS LA MORT DU MECHANT VIRUS ADAPTATIF D'ORIGINE NATUREL OU ANTHROPIQUE,  MAIS BIEN LA MORT PURE ET SIMPLE DE NOTRE LIBERTE, DU BONHEUR, DE NOTRE VIE SOCIALE ET ECONOMIQUE ET DE NOTRE COHESION NATIONALE !

Depuis presqu'une année, les Français ont été piégés par un discours de terrorisme sanitaire et victimisateur envers nos anciens et les personnes fragiles. 

Chaque année, la grippe tue plusieurs dizaines de milliers de français, majoritairement des personnes âgées, ou de personnes plus jeunes fragilisées par des maladies chroniques. Jusqu'à cette pandémie, personne ne s'en offusquait lorsque les journalistes nous annonçaient les chiffres de 20 000 à 40 0000 morts par an ou des 160 000 morts des cancers ! 

La stratégie visant à vacciner en priorité les personnes âgées et les personnes à risques et ceux qui le souhaitent aboutissait à une immunité de 24 % de la population par la vaccination et 40 à 50 % du reste de la population par contraction du virus de la grippe, et la vie continuait jusqu'à la prochaine période grippale ...

Pourquoi avec la COVID 19, le Gouvernement est t'il sorti de cette stratégie ?

La raison première est que ce gouvernement n'a pas pris la mesure que cette épidémie plus agressive nécessitaient dès le début de la pandémie en Asie (soit plusieurs mois avant  le premier confinement, les premiers cas en France sont apparus à l'automne), de renforcer nos moyens médicaux , des moyens matériels et des moyens humains nécessaires pour prévenir et accompagner la population infectée durant le cycle de la pandémie et parce qu'il n'existait pas de vaccin pour ce virus.

Cette erreur manifeste d'appréciation et surtout cette incroyable incapacité de nos décideurs à rechercher le conseil des vrais experts asiatiques ayant déjà à plusieurs reprises essuyer les plâtres pour prendre les mesures efficaces d'urgence, ont pervertis le discours et orienter nos dirigeants et nos responsables de la santé vers une attitude de déni, de mensonges sur l'utilité des masques, et d'affolement de la population.

Après avoir fait le bilan des moyens et des ressources disponibles pour lutter efficacement contre cette pandémie à priori inédite, sur la conséquence d'une saturation logique et attendue des lits d'hospitalisation et de réanimation suite à l'impréparation sur ce risque pandémique qui n'a jamais été étudié en France et en Europe et pour lequel aucune planification d'appui des moyens militaires médicaux n'a été préparée et répétée, le gouvernement Macron et son bras désarmé et désordonné de l'Etat avec ses multiples instances sanitaires, décident de la solution de facilité visant à une mesure inédite de confinement de toute la population française ,alors que beaucoup de régions ne sont pas encore touchées et que les principaux foyers épidémiques ont démarré dans la Région Est et en Ile de France.

Les français déconcertés, pardonnent les premiers couacs, même si certains s'étonnent comme cozillico de certaines décisions (autorisation de l'Etat du match de foot entre la France et l'Italie, premier pays très contaminé, maintien  des élections municipales,...),  et accueillent le premier confinement décrété par le gouvernement d'Edouard Philippe. Ils s'adaptent rapidement et trouvent même dans cette situation inédite des avantages, découvrent de nouvelles façons de travailler et de communiquer, redécouvrent certains plaisirs, comme de ne pas subir le stress des transports et faire des économies de déplacement, de partager plus de moments en famille après le travail,  ou encore apprécient le calme incroyable d'une France quasi à l'arrêt. Les entreprises mettent en place le télétravail généralisé, les activités de restauration acceptent de fermer et préparent la réouverture avec les premières mesures barrières qui cherchent leur point d'équilibre et leur efficacité.

Les services hospitaliers accusent le coup, les personnels sont mis à contribution et n'ayant jamais connus pour la majorité, une situation d'hospitalisation de guerre, font avec les moyens du bord, contre mauvaise fortune bon coeur, et sortent épuisés physiquement et moralement de ce premier confinement de 2 mois, accusant aussi des morts parmi le corps médical. Les français les glorifient et  ce qui pourrait passer pour de la fierté du devoir accompli, devient très vite une demande de reconnaissance statutaire, financière qui si elle est justifiée n'a pas sa place au vu de la situation qui est loin d'être terminée. Le service médical des armées, la médecine libérale n'ont été que peu mobilisé ou juste pour la façade.

Lors du déconfinement progressif, tout le monde est content d'en sortir, mais les français ne sortent pas tous indemnes, ceux qui n'avaient pas la chance d'avoir un jardin, une surface suffisante, d'être à la campagne, ont vécus des moments difficiles, des conflits familiaux, de la violence intra-familiale, de la détresse au travail à la maison, une absence pesante sur l'interruption de liens sociaux et des habitudes et rythme de vie d'avant. 

Devant la pénurie de masques et de gel hydroalcoolique, les français innovent et pallient seuls aux insuffisances de l'Etat en fabriquant du gel dans les rues et en fabriquant des masques. La solidarité des français est toujours au rendez-vous.

Mais le discours et la vie ont changé, les français sont habitués à des points réguliers de la situation par les hauts fonctionnaires de la santé, les attestations voient le jour, les règles pleuvent mal expliquées et justifiées avec les premières incohérences (fermerture des marchés et ouverture des grandes surfaces,...), fermeture des parcs ouverts, des espaces naturels, des queues dans les grandes surfaces, la peur des autres, de la découverte des premiers mensonges de nos gouvernants, des ordres et contre ordres, des "experts" et des médecins de "plateaux" qui essayent de traduire l'évolution de la situation et les options contradictoires prises par les instances sanitaires. cette histérisation sanitaire angoisse de plus en plus les français.

Les médias n'ayant plus rien à se mettre sous la dent durant le confinement,  vulgarisent et saturent au quotidien les informations sur cette pandémie, avec les débats et conflits de pseudos experts covidiens...Les journalistes de terrain ont vécu des reportages de "guerre" et pour certains sont marqués par ce qu'ils ont vu ou vécus.

Le gouvernement et l'Etat sont de plus en plus critiqués pour la gestion de la crise et les atermoiements du pouvoir. 

La mesure de chômage partiel de l'Etat évite une crise sociale majeure et les licenciements, mais les entrepreneurs des activités impactées (restauration , tourisme, culture, petits commerçants,...) vivent très mal cette situation et sont fortement impactés malgré les aides. Ils ne veulent pas ou plus être sous perfusion, alors qu'ils étaient sains et qu'aucun cas de COVID ou cluster justifiant une fermeture administrative n'est avéré dans leur établissement qui appliquent majoritairement les protocoles, alors que les français s'entassent dans les transports en commun ou se côtoient et touchent les mêmes objets dans les grandes surfaces.  Alors que l'orthodoxie budgétaire était la règle depuis de nombreuses années, les milliards pleuvent mais les aides tardent à arriver ou sont insuffisantes. Les grandes entreprises  comme toujours tirent les marrons du feu.

Mais au lieu de préparer une prochaine vague annoncée par un plan national hospitalier sans précédent, d'engager les moyens matériels et humains formés sur le tas pour mieux juguler les pics de contamination par une augmentation de l'offre de soin, du roulement des équipes, et l'augmentation des unités d'hospitalisation et de réanimation dédiée, tout le monde se lâche, part en congés d'été. 

L'Etat et l'Europe ne régulent personne aux frontières, hésitent, perdent du temps sur la stratégie et l'approbation des types de tests et leur mise en oeuvre, le traçage et  l'accompagnement des personnes isolées suite à leur positivité.

Le gouvernement et les politiques tergiversent sur le droit et l'atteinte à la liberté vis-à-vis de l'application qui a pourtant fait ses preuves en Asie et qui doit être obligatoire pour avoir une image actualisée de l'évolution de la pandémie et prendre les bonnes décisions.

La libre circulation des personnes cet été 2020, le brassage des populations dans les régions faiblement touchées, le relâchement des gestes barrières et l'absence d'obligation de port du masque qui enfin sont disponibles en quantité, sont les causes principales qui généralise à l'échelle nationale une deuxième vague automnale.

Le gouvernement impose en octobre un deuxième confinement, le port du masque obligatoire, mais conscient que l'impact du premier confinement sur les emplois et les entreprises, il ne ferme pas les écoles sous prétexte que les jeunes enfants ne sont pas vecteurs du virus.

A chaque fois, il se cache derrière le Conseil scientifique et des études diverses sensés conforter leur décision, mais dont la pertinence sème de plus en plus le doute, au vu des mesures contradictoires qui se succèdent (faible risque de contamination dans les transports en commun,...).

Le deuxième confinement ralenti la dynamique de contamination du virus et le gouvernement s'autosatisfait de ce résultat. Mais l'approche reste mauvaise puisque la pandémie est gérée uniquement au regard de la jauge de lits d'hospitalisation et de réanimation dont le nombre n'a dans les faits pas été suffisamment augmenté. 

L'espoir est portée sur le vaccin qui nécessite habituellement 4 années de mise au point et de tests. avant son agrément et commercialisation. Et là en moins d'un an, les groupes des laboratoires pharmaceutiques mondiaux en compétition annoncent que le vaccin pourrait être disponible en décembre 2020. Mais aucun état et industriel ne pose la question de la satisfaction des moyens de production des vaccins !?

En attendant la situation économique est de plus en plus dégradée, les grandes entreprises après avoir empochées les aides et profiter du chômage partiel, commencent à profiter de la pandémie pour licencier et se restructurer. Le moral des jeunes et des étudiants est au plus bas, une nouvelle pauvreté apparait du fait du chômage, de la disparition des petits boulots et des petits entrepreneurs et commerçants qui ont tout perdu et n'arrivent plus à survivre dans cette gestion qui sacrifient l'économie et le moral des français, les empêchant tout simplement de vivre normalement et ce qui doit être l'exception sur une durée courte et supportable devient la règle sur une période longue  et insupportable, les restrictions de liberté ...

Le couvre feu en est l'expression la plus manifeste, testé sur quelques départements ou villes depuis le 17 octobre  puis généralisé, il est mis en place de 21 H à 6 H,  le 23 octobre dans 54 départements, avec une légère inflexion sur les cas de contamination, dont il st difficile de dire si elle est du uniquement au couvre feu , puis mise en place du deuxième confinement allégé du 30 octobre au 15 décembre pour préparer les fêtes, puis instauré à nouveau le 15 décembre au 2 janvier avec un assouplissement pour le 24 décembre et une maintien pour le réveillon du jour de l'an, afin d'éviter tout débordement. Pour la nouvelle année, variation sur l'horaire, avancé à 18 h pour 25 départements, il est généralisé à cet horaire pour toute la France du 16 janvier 2021 et court toujours, avec des résultats plus que mitigés, car les gens se pressent aux horaires d'ouverture dans les centres commerciaux. Du coup on teste le couvre feu du week end et actuellement le couvre feu territorialisé...What else ?

La menace d'un troisième confinement est à nos portes fin janvier, alors que la situation sanitaire montre 27000 hospitalisation et 3000 personnes en réanimation, les "experts" conseillent sa mise en oeuvre et les médias préparent la population, mais contre toute attente MACRON n'autorise pas sa mise en oeuvre, car il commence à comprendre que les français ne sont plus disposés à accepter ces mesures successives et coercitives qui ne donnent aucune perspective et ne font que ralentir le virus et in fine prolonger la pandémie. Il préfère tester de nouvelles mesures comme interdire toute entrée et sortie du territoire, ce qui aurait du être fait depuis bien longtemps pour éviter cet été l'entrée de nouvelles personnes contaminés et le brassage trop large des populations mondiales. Les voyageurs doivent être porteur d'un test PCR négatif, mais ne le généralise pas à tord pour les routiers et les travailleurs frontaliers or si ils ne peuvent faire un teste PCR journalier, pourrait au moins faire un test salivaire ou PCR hebdomadaire ou avoir l'obligation d'utiliser l'application pour avoir une traçabilité en cas de positivité.

D'autant que les vaccins attendus comme la solution ultime ne permettront pas de gagner l'immunité avant l'automne prochain dans le meilleurs des cas. Outre les couacs de la mise en oeuvre de la stratégie vaccinale et les objectifs de production non atteignable avant plusieurs mois par les laboratoires, la situation pandémique va perdurer. Comme son prédécesseur Hollande avec le chômage, MACRON prend le risque de promettre que tous ceux qui le voudront pourront être vaccinés avant la fin août 2021...

En priorité, les personnels hospitaliers et la médecine libérale quel que soit leur âge doivent être obligatoirement vaccinés pour éviter les clusters observés dans certains hôpitaux et parce qu'ils sont au contact de la COVID 19 et des malades au quotidien, puis finir de vacciner en priorité, les personnes âgées de plus de 75 ans, et les personnes fragiles quelles que soit leur âge. 

Au regard des sacrifices que les français ont fait pour ces catégories de personnes, ces dernières doivent se confiner tant qu'elles ne sont pas vaccinés et les personnes qui veulent les visiter doivent l'être aussi. 

Une étude épidémiologique montre que la majorité des personnels hospitaliers qui ont contracté la COVID 19 lors de la première vague, montre actuellement une immunité efficace contre le virus. A contrario, il semble que certains personnels n'ont pas suffisamment produits d'anticorps et ont pu contracté à nouveau le virus ou un variant.

Dans tous les cas, il est clair que la contamination est bien une stratégie d'immunisation efficace contre le virus.

Donc, est ce enfin politiquement incorrect de dire qu'il  faut au contraire permettre et  accompagner la contamination des populations jeunes et des populations qui n'ont pas de facteurs de co-morbidité qui permettra plus rapidement d'atteindre l'immunité collective de 60/70 %, bien avant que 60/70 % de la population ne soit vaccinée  ? 

COZILLICO est persuadé que les populations en bonne santé qui souffrent psychologiquement, socialement et  économiquement des restrictions sont prêts à accepter, si l'économie et la vie sociale sont libérées,  le risque de contamination à condition d'être accompagné si ils sont obligés de s'isoler ou en cas de développement de la forme grave. Oui il y aura des pertes collatérales, mais sans commune mesure avec la persistance de la situation pandémique liée à l'absence d'immunité !

Il est temps que le gouvernement ouvre les yeux sur les risques de santé mentale et de détresse psychologique des français et en particulier des plus impactés par des mesures d'interdiction d'exercer qui condamne leur activité ou/et leur société. 

Si le Président MACRON et son gouvernement croient que cette stratégie et l'injection de milliards d'euros d'aides publique qui in fine  profitent majoritairement aux grands groupes et grosses PME et pas aux TPE et travailleurs non salariés vont sauver la France de la crise économique et sociale, ils se trompent lourdement et les électeurs  leur rendront bien aux prochaines législatives et présidentielles.

Si la vaccination est en marche, et que les personnes de plus de 65 ans volontaires sont en voie d'être vaccinés fin mars, alors de grâce Monsieur le Président, libérez les français du joug et de la culpabilité envers nos anciens.

Ouvrez les restaurants, les salles de sports, les cinémas et lieux de cultures, les vols à l'étranger avec pass vaccinal ou immunitaire par contagion vers les pays qui ouvrent aussi leurs frontières !  Obliger l'application du protocole de gestes barrière en milieu clos, accepter le certificat vaccinal ou pass sanitaire et imposer les tests salivaires pour les autres qui permettront de faire en 15 min le tri en refusant ceux qui a ont la charge vaccinal la plus forte et plus adaptés pour les travailleurs frontaliers.

 Si vous ne remettez pas la vie économique et sociale en marche, vous allez sacrifier les générations actives, fragiliser ou faire disparaitre les petites entreprises qui sont censés soutenir l'économie et les retraites des anciens, remettre au travail les salariés sous perfusion des indemnités de chômage partiel et qui pourront faire rentrer des cotisations salariales de santé pour financer les personnes à risques.

Ne vous basez pas sur le nombre journalier de contaminés, mais bien sur la classe de personnes à risque contaminés et au nombre d'hospitalisation et de réanimation des personnes qui contractent une forme grave, c'est cela l'étalon et demander si il ne faut pas mieux financer des lits et moyens hospitaliers humains supplémentaires comme l'a fait l'Angleterre par réquisition plutôt que dépenser des milliards d'euros à perte qui ne servent pas la santé des personnes, mais altèrent leur santé physique et mentale.

Il est anormal de de voir des personnes être obligées de se restaurer le midi tous les jours dans dans la restauration rapide avec les risques de ces nourritures peu équilibrées et manger ensemble dans l'espace confinés de leur véhicule, alors que les règles de distanciation sociale et de nettoyage des tables dans les restaurant limitent les risques.

Même si ce sentiment n'est pas encore prégnant, si vous persistez à fermer les échanges sociaux, économiques et de loisirs, vous allez créer un ressentiment des plus jeunes et des actifs envers les personnes atteintes de co-morbidité et nos anciens.

Monsieur le Président MACRON, ne nous demander pas d'attendre encore 4 à 6 semaines pour seulement assouplir les mesures de couvre feu, croyez moi si vous n'ouvrez pas la France à Pâques, vous serez définitivement responsable de l'affaiblissement de la France pour de nombreuses années et du fort ressentiment des français.

Aux bons maux les bons remèdes...

COZILLICO

 

 

 

 

 

 

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